Consommations d'eau et d'uranium : impacts des centrales nucléaires

Temps de lecture: 14 min , Dernière mise à jour: 24/06/2025
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Sommaire


​La production d’électricité nucléaire, bien que décarbonée, repose sur des ressources majeures – notamment l’eau et l’uranium – et engendre différents types de rejets, déchets et risques sanitaires. À travers l’exemple de la centrale de Civaux (Vienne), cet article propose un panorama complet des impacts environnementaux et sanitaires associés. Consommations d'eau et d'uranium : les impacts des centrales nucléaires. Article ancien, mais toujours d'actualité.

1. Rejets d'une centrale nucléaire

Les centrales nucléaires utilisent d'énormes quantités d'eau pour refroidir en permanence leurs installations. A l'époque de leur construction, on n'imaginait pas que l'eau pourrait se raréfier. Edifiées en bord de mer ou à proximité d'un fleuve, d'un canal ou d'un estuaire, ces centrales prélèvent de l'eau "froide" pour refroidir les réacteurs nucléaires et les piscines d’entreposage du combustible usé. L'eau réchauffée est rejetée dans la nature et une partie s'est évaporée.

Consommation d'eau

L’actualité le montre: dès juin cette année en raison du réchauffement du Rhône, EDF est contraint de stopper une centrale atomique pour éviter de rejeter une eau chaude qui détruira le milieu aquatique. Ce sont des milliards de m3 d’eau qui sont prélevés dans nos fleuves chaque année et qui en s’évaporant génèrent de la vapeur d’eau responsable du réchauffement !

Chaleur

Les rejets d'eau chaude sont soumis à des limites maximales de température afin de préserver la faune et la flore. L'élévation de la température de l'eau de quelques degrés est préjudiciable pour la biodiversité aquatique. Les normes sont élevées : par exemple à l'aval de la centrale atomique de Saint-Alban (Isère), la température de l'eau du Rhône ne doit pas dépasser 28°C en été, ce qui est énorme.
La canicule de l'été 2018 avait contraint EDF à mettre à l'arrêt les 2 réacteurs de Saint-Alban.

Les centrales nucléaires de Tricastin, Blayais, Saint-Alban, réacteurs n°2 et n°3 du Bugey, (Fessenheim est à nouveau utilisée) qui fonctionnent en "circuit ouvert", c'est-à-dire qui rejettent l'eau directement dans les cours d'eau, sont les premières unités stoppées en cas de canicule. Le réchauffement climatique donne des vagues de chaleur plus fréquentes, plus précoces, plus tardives, plus intenses et plus longues.

Effluents gazeux

Les rejets radioactifs dans l’atmosphère. Les centrales nucléaires françaises rejettent dans l’atmosphère des effluents gazeux radioactifs, bien que sous contrôle. À Civaux, entre 2000 et 2004, les niveaux de rejets sont restés inférieurs aux limites réglementaires :

  • Gaz rares + tritium gazeux : jusqu'à 9 600 GBq (pour une limite de 330 000 GBq)
  • Halogènes et aérosols (iode) : toujours très en dessous de la limite de 11 GBq
  • Effluents liquides : les produits chimiques utilisés et rejetés.
Le fonctionnement nucléaire consomme de nombreux produits chimiques pour maintenir les circuits (acide borique, hydrazine, morpholine, etc.). Ces produits sont partiellement rejetés :
Substance
Quantité rejetée
Acide borique
10 771 kg
Morpholine
258 kg
Ions ammonium (NH₄⁺)
636 kg

​En 2004, 10 771 kg d’acide borique, 258 kg de morpholine et 636 kg d’ions ammonium ont été déversés dans l’environnement par la centrale de Civaux.

Effluents gazeux radioactifs – Centrale de Civaux (2000–2004)
Type de rejet
Rejet réel max (2000–2004)
Limite réglementaire
Gaz rares + tritium
9 600 GBq
330 000 GBq
Halogènes (iode…)
Bien inférieurs à 11 GBq
11 GBq
Aérosols radioactifs
Bien inférieurs à 11 GBq
11 GBq


Tours de refroidissement de la centrale de Golfech en Tarn-et-Garonne qui consomme une énorme quantité d'eau qui s'évapore dans l'atmosphère. Photo Picbleu

tours-refroidissement-centrale-nucléaire-de-Golfech-tarn-et-garonne-82400.jpg


2. Déchets solides : la gestion des déchets

Les déchets sont de plusieurs ordres

  • Le combustible usé. Chaque arrêt de tranche à Civaux renouvelle un quart du combustible, soit plus de 30 tonnes par an de déchets hautement radioactifs, nécessitant un stockage en piscine pour plusieurs années.
  • Les déchets technologiques
    Il s'agit de matériels faiblement radioactifs (gants, chiffons), stockés dans des fûts métalliques. En 2004, Civaux a produit 423 fûts.
  • Les déchets de procédé. Plus irradiants (filtres à air, à iode…), ils sont enfermés dans des coques de béton. En 2004, 90 coques ont été produites.

3. Risques et précautions

Risques pour la santé humaine. Effets selon la dose reçue (en Sieverts – Sv)
Dose (mSv ou Sv)
Effets potentiels
≤ 3 mSv/an
Moyenne d’exposition en France
> 100 mSv
Risque accru de cancer
≈ 1 Sv (1 000 mSv)
Maladies aiguës, effets graves sur la santé
10 Sv (10 000 mSv)
Dose létale dans 50 % des cas (mort rapide)
​Risques pour la santé. Une forte exposition aux radiations peut détruire des cellules et provoquer rapidement des lésions graves :

  • Érythème, stérilité, troubles digestifs et nerveux, voire décès.
  • À long terme : cancers, leucémies, mutations génétiques

Protection contre les rayonnements

Comment se protéger des rayonnements émis lors d’une explosion nucléaire ?
D'après l’Institut de Radioprotection et de Sûreté nucléaire (IRSN), l’éloignement de la source de rayonnement est la seule protection imparfaite, l’intensité des radiations diminue avec la distance. L’utilisation d’écrans protecteurs (confinement) entre la source et les personnes permet de réduire l’intensité de l’irradiation. Plus le matériau est dense, plus le rayonnement perdra de son énergie.

La protection repose sur trois principes :

  • Éloignement
  • Confinement (écrans protecteurs)
  • Temps d’exposition limité.

4. Risques pour la santé

Quels sont les risques pour la santé dans le cas d'un accident nucléaire ?
Les risques sanitaires en cas d’exposition radioactive importante peuvent être très graves pour la santé en cas d’exposition directe à des doses de rayonnement ionisant élevées. L’ADN est modifié, car un nombre important de cellules de l’organisme sont totalement détruites. Les conséquences à court terme cliniques sont nombreuses et dépendantes de l'intensité et de la durée d’exposition : érythème cutané (type coup de soleil), stérilité, cataracte, troubles digestifs, troubles du système nerveux, décès, les conséquences sur la santé sont potentiellement nombreuses et dépendent de la dose d’irradiation absorbée par l'organisme.

L’exposition à la radioactivité ne se limite pas à l’accident nucléaire type explosion d'un réacteur, car l’inhalation ou l’ingestion de matière contaminée exposent l’organisme à des doses de radioactivité nocives accentuant le risque de développer un cancer ou une leucémie, et ce, longtemps après l'accident.

Quels sont les niveaux sanitaires admissibles suivant la dose d’exposition ?

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime qu'en tout dehors de tout contexte d’accident, l’exposition moyenne normale par personne s’élève à 3 mSv par an, 80 % de cette valeur provient de sources naturelles (rayons cosmiques, matériaux naturellement radioactifs du sol, l’eau et l’air), les 20 % restants proviennent d’examens médicaux radiologiques et de production humaine. Une exposition immédiate et temporaire de courte durée de moins de 10 mSy correspondrait à une très faible dose. Une réglementation française limite à 20 mSy par an l’exposition des professionnels (santé, industrie, etc.) concernés. Les doses d’irradiation (exprimées en Gray (Gy) ou en Sievert (Sv)) correspondent à l’énergie atomique absorbée par l’organisme.

Quelle est la valeur de radioactivité mortelle ?

À partir d’une exposition de 100 mSy une personne présenterait un risque accru de développer un cancer. En cas d’irradiation consécutive à un accident nucléaire, des doses de particules radioactives extrêmement élevées peuvent être libérées dans l’atmosphère. Une personne exposée à plus de 10 Sv (10 000 mSv) meurt entre 2 jours et quelques semaines.
Les radiations ionisantes persistent dans l’atmosphère et demeurent une source de contamination environnementale pour les populations présentes dans le périmètre pollué, mais aussi dans les sols et nappes phréatiques. L’ingestion et L’inhalation d'eau et de produits alimentaires contaminés par radiation radioactives peuvent entraîner des altérations au niveau des organes et des tissus vivants (humains et animaux).

Les bombes d’Hiroshima et Nagasaki en 1945, au Japon et l’accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine en 1986 ont fait l'objet d'études sur la santé humaine. Les personnes irradiées ont été observées pendant plusieurs années.

Médication pour la protection

Quel médicament absorber pour se protéger de l'iode radioactif ?

Lors d'un d’accident nucléaire, il faut préventivement absorber un comprimé d’iode ainsi la thyroïde saturée en iode, ne fixera pas l’iode radioactif auquel elle est exposée. L’iode 131 radioactif est l'un des nombreux éléments émis dans l'atmosphère et se comporte comme l’iode stable. L’iode 131 radioactif est rapidement et totalement absorbé dans le sang et se concentre dans la thyroïde engendrant un risque accru de cancer (source CEA). En France, toutes les personnes habitant dans un périmètre de 10 km autour d’une centrale nucléaire doivent être en possession de comprimés d'iode. L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) recommande de limiter le temps d’exposition près de la source de radiation, de s’en éloigner et de s’en protéger.
Des comprimés d'iodure de potassium pour protéger la thyroïde ?

Des comprimés d'iodure de potassium contenant 100 mg d'iode, destinés à bloquer toute entrée ultérieure d’iode dans la thyroïde avaient été distribués par E.D.F aux populations proches des centrales nucléaires à la demande du Ministère de la Santé. Ces comprimés d'iodure de potassium sont à consommer sur recommandation des Pouvoirs Publics en fonction de l’évolution de la radioactivité ambiante à la suite d’un éventuel accident de centrale nucléaire. La dose recommandée est de 1 comprimé chez l'adulte, ½ comprimé chez l'enfant, ¼ de comprimé chez le nouveau-né, ces comprimés sont à dissoudre dans du lait ou un jus de fruit. La prise est éventuellement à répéter après 36 heures, en fonction des recommandations.

Toujours s'adresser à un médecin ou pharmacien pour la conduite à tenir
Dans tous les cas il faut s'adresser soit à un médecin ou un pharmacien. En l'absence de risque nucléaire, il n’est pas nécessaire, voire même dangereux, de consommer de l’iode en grande quantité (alimentation ou comprimés). L’iode est un minéral indispensable au bon fonctionnement de notre organisme qui en contient 15 à 20 mg à l’âge adulte. L’iode est très important pour le développement des enfants : une carence entraine des retards mentaux (crétinisme).Certains sels de table sont supplémentés en iode, le poisson : saumon, morue (huile de foie de morue), les crustacés, les huitres, les lardons et les œufs sont les animaux non marins les plus riches en iode. Conclusion, en cas de nuage radioactif, il faut faire "confiance" aux autorités qui indiqueront la conduite à tenir. En cas de pénurie de comprimés d'iode, l'huile de foie de morue est l'aliment qui contient le plus d'iode.


Utilisation des comprimés d’iode. En cas de fuite d’iode 131 radioactif, un comprimé d’iodure de potassium permet de saturer la thyroïde et d’éviter son absorption. Distribution obligatoire dans un rayon de 10 km autour des centrales. Posologie : 1 comprimé adulte, ½ enfant, ¼ nourrisson.

Médication en cas d'accident nucléaire

Catégorie
Posologie recommandée
Adulte
1 comprimé
Enfant
½ comprimé
Nourrisson
¼ comprimé


5. Normes et régulations

Niveaux sanitaires admissibles :

  • Exposition moyenne annuelle normale : 3 mSv/an, dont 80 % naturels
  • Limite pour les travailleurs du nucléaire : 20 mSv/an
  • Une exposition > 100 mSv augmente nettement le risque de cancer
  • Valeur de radioactivité mortelle
  • Exposition > 10 Sv (10 000 mSv) = décès probable en quelques jours/semaines.
Les radionucléides peuvent contaminer sols, nappes, faune et flore.

6. Perspectives et débats

Les opinions sur l’énergie nucléaire sont très diverses malgré un puissant lobbying. Le nucléaire reste controversé :
Avantages
production stable, faible émission de CO₂
Critiques
déchets, risques, coût réel très élevé

L’uranium émet aussi du CO₂ (mines, extraction, transport, etc.), et les énergies présentées comme renouvelables ne présentent pas un meilleur bilan carbone si l'on tient compte de la nécessité d'extraire les matières pour fabriquer panneaux solaires et éoliennes.

Chiffres officiels
On remarquera que l'hydraulique dont les barrages ont été depuis longtemps amortis est mal placé. On peut tirer n'importe quelle conclusion d'un calcul en omettant certaines données. Une chose est certaine : on privatise les profits et on mutualise les dépenses. Le capital d'EDF est désormais à 100% détenu par l'État, les centrales hydrauliques sont très intéressantes pour des investisseurs, d'autant plus que d'après nos sources d'importants travaux de rénovation ont été entrepris pour rendre la mariée plus belle.

Émissions de CO2
photovoltaïque
89 g
Nucléaire
31 à 61 g de CO₂/kWh
Éolien :
23 g
hydraulique
39 g

7. Actualités et incidents

Ces événements soulèvent des inquiétudes croissantes sur les effets à très long terme et les risques terroristes.
Accidents majeurs. catastrophes à effets durable

Pays
Date
Détails
Tchernobyl
1986
Explosion, rejet massif de radionucléides
Fukushima
2011
Tsunami, fusion des cœurs, contamination marine
Oskarshamn (Suède)
2008
Sabotage déjoué : présence de TATP, explosif puissant


8. Ressources supplémentaires

Sites d'information

  • IRSN : simulations, mesures en temps réel
  • CRIIRAD : mesures indépendantes
  • AIEA : cadre international
  • AEPN : Lobbying en faveur du nucléaire
  • Cartes et documents. Carte du nucléaire en France : réseau Sortir du nucléaire.
  • Suivi Fukushima (IRSN).
  • STOPCIVAUX

Sites associatifs : polémiques

Pacte contre Hulot (PACTE HULOT)

Extrait choisi : « NICOLAS HULOT S'INDIGNE DE LA FOLIE NUCLEAIRE DONT IL A ETE LE DEFENSEUR ». « Le nucléaire, en l'état, ne peut pas être la réponse à nos besoins énergétiques. (...) On a encore une fois la démonstration, on ne peut pas remettre le sort de l'humanité dans une vulgaire et tragique roulette russe. » Nicolas Hulot, AFP-13 mars 2011. Nicolas Hulot, toute honte bue, ose pendant la catastrophe nucléaire en cours au Japon s’indigner de la folie nucléaire dont il a pourtant été l'un des meilleurs agents. Toute la nuance, pour l’animateur de TF1, réside en effet dans le « en l’état » ; l’hélicologiste est un spécialiste en matière de duplicité pour camoufler des positions pro-nucléaires qui ne sont un secret pour personne. Ainsi, pour Le Figaro, Nicolas Hulot « est pour le nucléaire par lucidité » (7-8-2009). Des positions pro-nucléaires que l’animateur de TF1 à toujours partagé avec son alter ego de France télévision, autre hélicologiste Yann Athus-Bertrand. La Fondation Nicolas Hulot était financée par EDF et Alstom, conseillée par des « écologistes » pro-nucléaires comme Dominique Bourg (président du « Conseil sociétal » d'EDF) ou le consultant Jean-Marc Jancovici.

Conclusion sur les centrales nucléaires

La seule solution est de consommer le strict nécessaire en restant frugal et sans imiter tous ces crânes d’œufs qui parce qu’ils en ont les moyens (ou pas) dépensent nos ressources précieuses (arbres, eau, air, etc,).
La centrale de Civaux illustre la complexité de l’énergie nucléaire : une production énergétique intense disséminée partout en France, une gestion rigoureuse des effluents et déchets, mais aussi des risques potentiels non négligeables. Les débats sur son avenir énergétique restent vifs, entre efficacité et précautions sanitaires et environnementales. Le nucléaire peut-il encore être considéré comme une énergie d’avenir ? La question reste ouverte.



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