
La fin du GIEC ? Il faut ouvrir le débat sur la consommation
Sommaire
Le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat) a été créé en 1988. L’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) et du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), sur le changement climatique agissent de concert afin d'évaluer, sans parti pris et de manière méthodique et objective, l’information disponible sur le bouleversement climatique dû à l'activité humaine.

Où se trouve la vérité ?
Certainement et malheureusement dans les déclarations alarmistes du GIEC qui avait fêté son 30ème anniversaire en février 2018 !
Avec un peu de bon sens paysan, on ne peut que constater une lente désagrégation de notre environnement et des conditions de vie. Surtout pour une génération comme la mienne qui a connu enfant la joie et l'insouciance de se baigner dans une rivière sans se soucier de pollution maintenant visible (plastiques accrochés aux rives) et invisible (produits dissous issus de la pétrochimie...).
1. Fallait il dissoudre le GIEC ?
Les manquements du GIEC n'instituent pas en vérité scientifique les thèses opposées et divergentes. D'une part, le sur financement et les affirmations catégoriques du GIEC et d'autre part, le sous financement et les affirmations hasardeuses de ses opposants doivent être stoppés. Il est capital d’ouvrir un débat scientifique honnête, objectif et digne de ce nom. Voir article sur le sujet « ».
2. Qu'est-ce que le GIEC ?
GIEC signifie Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Cet organisme intergouvernemental, ouvert à tous les pays membres de l'ONU a comme mission comme l'indique la phrase inscrite dans son site « d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaire pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles .
Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents. Ses évaluations sont principalement fondées sur les publications scientifiques et techniques dont la valeur scientifique est largement reconnue ».
En 1988 date de la création du GIEC, le laboratoire de la NASA (GISS) a démontré que c'était l'année la plus chaude connue. Ce record a été tristement battu 21 fois depuis 2001. Pourtant le GIEC avait lancé une alerte dont personne n'avait tenu compte. Les climatosceptiques ayant bien joué leur rôle et les populations préférant jouer à l'autruche pour préserver leur 4x4, leurs voyages en avion pour aller voir la misère au Kenya et prendre sa douche en se désolant que des enfants buvaient de l'eau dans un marigot lors d'une balade en jeep dans une réserve animale.
3. L'invective suffit elle à exclure le rôle de l’activité humaine
Des individus nient le rôle de l'homme dans le réchauffement
Certaines personnes s’imaginent que l'invective suffit à exclure le rôle de l’activité humaine dans le réchauffement, cela rassure. Il ne faut pas tomber dans les excès inverses en pensant que les phénomènes actuels ne sont qu’un cycle naturel et que l’homme n’y est pour rien.
Parmi les climato-sceptiques, certaines personnes sont peu recommandables, leurs affirmations jetant l'opprobre et le discrédit sur le GIEC ne sont pas objectives : ne faut-il pas toujours se demander à qui le crime profite ?
4. Une prise de conscience nécessaire.
Le débat scientifique doit continuer, mais sur des bases saines en prenant en compte le simple fait que l’homme joue un rôle malsain sur son environnement.
Une prise de conscience parfaitement justifiée doit permettre au renoncement de toutes les pratiques irresponsables et irrespectueuses de l’environnement. Notre économie de marché actuelle prônée par des thèses ultralibérales capitalistes n’apporte pas le bonheur des peuples au même titre que le collectivisme et autres courants socialistes, elle aboutit au contraire à l’épuisement rapide de toutes les ressources naturelles à la destruction de la planète et au final à la destruction de l’humanité. Ouvrons les yeux en grand : nous sommes tous en train de gaspiller les ressources terrestres et le simple bon sens est devenu absent.
José Bové faucheur volontaire de maïs OGM (Organismes Génétiquement Modifiés).
Rassurons nous : la planète n'est pas en danger.
L'homme oui. La nature a tout son temps. En quelques milliers d'années, elle peut tout effacer, car elle est toute puissante et d'une incroyable ténacité. Elle s'adapte à tout avec une logique bien à elle.
Gardez à l'esprit que si vous avez besoin de la nature, Dame Nature n'a pas besoin de nous.
Sauvez un arbre ! Afin de contribuer au respect de l'environnement, merci de n'imprimer cette page qu'en cas de nécessité. Pourquoi économiser les ressources ?
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