Le bio ne peut nourrir toute la planète une idée fausse
Saviez-vous que le premier aliment « bio » est le premier avec lequel vous avez été alimenté si vous avez eu la chance d'être élevé au sein maternel ? Le lait d'une maman est l'aliment « bio » par excellence. La médecine s'accorde à dire que les bébés nourris au sein sont mieux armés, mieux constitués et moins malades que ceux élevés au lait de vache.
Le bio pour tous
L’appellation « bio » est un diminutif qui signifie « issu de l’agriculture biologique » un qualificatif inutile, car le bon sens voudrait que nos aliments soient sains, c'est-à-dire non souillés par les désherbants, pesticides et autres engrais chimiques qui brûlent la terre et lui fait perdre sa fertilité naturelle.
Le bio ne peut pas nourrir toute la planète ?
Cette idée est fausse, car c'est exactement le contraire : seule une alimentation naturelle peut nourrir les populations.
- Les chiffres le prouvent : pour produire 1 kg de viande, il faut 17 kg de céréales et l'on peut nourrir beaucoup plus de personnes avec 17 kg de céréales qu'avec 1 kg de viande.
- Une production animale destinée à produire de la viande dont la qualité est en baisse constante.
- Manger « bio » ce n'est pas produire et absorber toujours plus produits animaux avec les sous-produits (lait, fromage, oeufs, etc.), mais au contraire en réduire la proportion.
Si en France les repas sont constitués de 80 % de produits animaux et de 20 % de végétaux, la raison voudrait que ce soit l'inverse justement. Il suffit de regarder les pays dans lesquels les personnes vieillissent le mieux : certains peuples méditerranéens et notamment l'extraordinaire longévité des Crétois qui bénéficient de plus du taux le plus bas de maladies cardio-vasculaires et de cancers.
Les bons réflexes
Les bons réflexes de consommateur : manger local... c'est l'idéal !
Ce dossier s'adresse à l'achat de produits alimentaires, mais peut s'appliquer à tous les achats de la vie courante. Avant de sortir votre carte de crédit, posez-vous les questions suivantes :
- Ce produit fait-il l'objet de véritables certifications (label reconnu) ?
- Ce produit est-il « éthique » ?
- Combien de temps vais-je utiliser ce produit ?
- Ce produit est-il vraiment nécessaire dans ma vie ?
- Est-il « vert » ?
- Est-il trop emballé ?
- Quels déchets générera-t-il ?
- Où a-t-il été fabriqué ?
- Semble-t-il avoir subi d'importantes transformations ?
- A-t-il nécessité l'utilisation d'énergies non renouvelables comme le pétrole ?
- Est-il fabriqué en matière recyclée ?
- Est-il fabriqué en matière récupérée ?
- Ce produit est-il recyclable ?
Réfléchissez avant d'ouvrir votre portefeuille, patientez, faites de ces interrogations un réflexe, si après cette méthode le besoin est toujours présent, achetez ou pas. Dans bien des cas, vous ferez des économies.
Décider pour agir
Tous les savants, scientifiques, sociologues, ingénieurs sont confrontés à la même problématique : celle d’étudier un élément aux propriétés observables définies et donc limitées. La loupe et le microscope font donc perdre de vue qu'un objet s'insère dans un ensemble de relations et de processus.
La nécessité d'étudier un lieu dans son ensemble (humain et habitat) est essentielle pour Picbleu :
Afin de pouvoir saisir le réel, il est indispensable de sortir de tous les cadres, il faut étudier des savoirs portant sur des objets très éloignés du sujet traité et explorer ce qui se cache derrière les formes observables du monde. En faisant référence au célèbre aphorisme d'Abraham Maslow « Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou » (The Psychology of Science, 1966).
L'hyper spécialisation
Le généticien pensera que la génétique sauvera l’humanité, l'architecte s’imaginera que ses réalisations ne sont pas simplement des moyens physiques, mais qu’ils possèdent une portée philosophique supérieure. L’humain, qu’il soit scientifique, religieux ou créateur est un animal social qui partage ses idées, ses conceptions de la vérité, ses valeurs nobles ou celles qu'il attribue à la beauté si bien que par la loi universelle de la convergence, les individus finissent par suivre les mêmes voies. Les informations sont dispersées et semblent sans relations dans le mode dans lequel nous vivons.
L'hyper spécialisation dans le fonctionnement de la société humaine occidentale ne donne qu’une vue partielle de la .
Dans certains cas, il y a des interdépendances, mais qu’on ne doit pas confondre avec l’interdépendance quantique qui repose sur des superpositions d’états, des complexités extrêmes, des apories à large échelle et nul doute, des processus de calcul quantique. Des intrications incluant des informations en relation avec un ensemble de « constituants quantiques ».
Nos esprit nous trompe
Nos convictions et nos certitudes sont parfois trompeuses : « ce qui nous paraît être de la matière solide n'est constitué en réalité que de particules vibratoires tournoyant dans un grand vide à une telle vitesse qu'elle nous donne une impression de solidité. Si le mouvement de ces particules cessait tout à coup comme un ventilateur qui s'arrête, il n'y aurait plus que du vide. Nous sommes en réalité de l'énergie informatisée en action ». Source CERN (Centre Européen de Recherche Nucléaire Genève), Travaux sur les anneaux d'accélération des particules.
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Les ingrédients cosmétiques toxiques à éviter dans vos achats
De nombreuses catégories d'ingrédients sont utilisées en cosmétique : filtres UV synthétiques, colorants synthétiques, conservateurs synthétiques, huiles minérales, silicones, sulfates, sels d'aluminium, ammoniums, nano particules, etc....
Le bio un sujet qui divise les bons et les méchants
D’après un rapport de l'Agence Bio, groupement d'intérêt public chargé de promouvoir la filière bio, publié le 2 octobre 2012, la consommation de produits bio augmente régulièrement, la conséquence de cet intérêt impacte les surfaces dédiées à l'agriculture biologique en France qui ont augmenté de 25 % au premier semestre 2012. 173 000 hectares se sont convertis au label AB, permettant aux cultures certifiées bio de franchir la barre du million.
Le Lot-et-Garonne département label territoire bio engagé
Le Lot-et-Garonne est le premier département de la future grande région. Il montre l'exemple en cultivant plus de 18 000 hectares de terres agricoles utilisées ou en conversion bio en 2014.
Le bio ne peut nourrir toute la planète une idée fausse
Saviez-vous que le premier aliment « bio » est le premier avec lequel vous avez été alimenté si vous avez eu la chance d'être élevé au sein maternel ? Le lait d'une maman est l'aliment « bio » par excellence. La médecine s'accorde à dire que les bébés nourris au sein sont mieux armés, mieux constitués et moins malades que ceux élevés au lait de vache.
L'agriculture « bio » n'est-elle pas meilleure pour la santé
Le bio n'est pas meilleur pour la santé ?...
Remplacer nos produits chimiques par des substituts naturels
Certains produits contiennent des substances nocives pour l'air, l'eau, la terre et donc pour notre santé....
Conservateurs de synthèse
Les conservateurs sont obligatoirement « biocides» il tuent la vie. Ce sont des anti microbiens, qui limitent la multiplication des microbes ou des champignons.
Pourquoi manger bio quel est l'intérêt de l'agriculture bio ?
Avant de passer à table, faut-il se souhaiter bonne chance à la place de bon appétit ? Non, si l'on consomme des produits « bio ET locaux ». L’appellation « bio » est un diminutif qui signifie « issu de l’agriculture biologique » un qualificatif inutile, car le bon sens voudrait que nos aliments soient sains, c'est-à-dire non souillés par les désherbants, pesticides et autres engrais chimiques qui brûlent la terre et lui fait perdre sa fertilité naturelle. Mais peut-on qualifier de bio un produit emballé dans du plastique qui a fait parfois des milliers de kilomètres en camion et pire en avion ?
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